Vous dénoncez le caractère liberticide de ce projet de loi : pourquoi ?

« Le premier point très grave qu’on voit dans ce texte, c’est que sous couvert de la protection des enfants, de lutte contre la haine en ligne, c’est la fin totale de l’anonymat alors que c’est contraire au droit de l’Union (européenne) et probablement au droit français. On assiste à une véritable surenchère. Début juillet, Horizons [le parti dirigé par Édouard Philippe, NDLR] a poussé une loi pour une majorité numérique, mais qui implique de fait une vérification d’identité de tous les internautes. La peine de bannissement des réseaux sociaux, c’est la même…