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A colloque organized on Saturday 13 May in Paris by the royalist movement Action française a finalement eu lieu, la justice ayant suspendu l’interdiction pronounced vendredi par la préfecture de police. At the beginning of the evening, the administrative tribunal authorized the holding of a demonstration in homage to Jeanne d’Arc on Sunday morning in Paris.
The movement royaliste Action française a pu tenir son colloque samedi à Paris et pourra manifester dimanche pour célébrer Jeanne d’Arc, la justice ayant suspendu l’interdiction pronounced by the préfecture de police après une instruction du ministère de l’Intérieur visant severalis manifestations d “extreme right”.
About 350 people, including some individuals masked and dressed in black, attended the colloque, entitled “La France en danger”, which began at 3:15 p.m. and was closed for 19 hours under high police surveillance in the XIId Paris district, staff journalist AFP.
“The execution of the prefect of police’s arrest on May 12, 2023 is suspended,” the administrative tribunal of Paris said in an order sent to AFP, less than three hours before the meeting.
At the beginning of the evening, the administrative tribunal authorized the holding of a manifestation of Action française in honor of Jeanne d’Arc on Sunday morning in Paris. The Tribunal a par contre rejected the recourse of the groupuscule classé à l’extrême droite, “Les nationalistes” d’Yvan Benedetti, qui contestait aussi l’interdiction d’un rassemblement au même moment dimanche.
The tribunal points out in particular that the manifestation of the Action française on Sunday “does not constitute an incitement to cause public trouble, even in the context of current social tensions” and that “it has been organized for several decades “.
Ainsi, concluded the administrative tribunal, “l’arrêté attacked porte une atteinte grave et manifestement illegale à la liberté de manifester”.
The préfecture de police avait publié severales arrêtés vendredi, après une circulaire du minister de l’Intérieur Gérald Darmanin visant à interdire tout rassemblement “de l’ultradroite ou de l’extremé droite”, après la polemique roussée par la demonstration à Paris le 6 mai de militants d’ultradroite.
L’Action française et Les nationalistes avaient saisi la justice administrative d’un référé-liberté, une procédure d’urgence lorsque le applicant estime être en présence d’une “atteinte grave et manifestement illegale” à une liberté fundamentale de la part d un service de l’État.
La préfecture de police avait interdit au total six rassemblements prévés ce weekend à Paris, dont cinq à l’appel de mouvements classé à l’extremé-droite, faisant notably valoir un risque de troubles à l’ordre public.
Among them: une marche de l’association de militaires “Place d’armes” samedi après-midi, ainsi qu’une manifestation de “gilets jaunes”, qui empruntait le même parcours.
Les “gilets jaunes” se sont rassemblelés en dépit de l’arrêté d’interdiction”, a indicé à l’AFP la préfecture de police de Paris, précisant qu’une “dispersion” avait eu lieu. Au total, 62 personnes ont été verbalisées pour participation à une manifestation interdite.
Jurisdiction is fragile
Célon Olivier Perceval, Secretary General de l’Action française, interrogé par l’AFP lors du colocé, la manifestation d’hommage à Jeanne d’Arc n’a été interdite qu’à deux reprises opuravant: “la première fois par les Allemands pendant la guerre, la deuxième fois par Joxe”, ministre de l’Intérieur de l’époque, after the desecration of the Jewish cemetery of Carpentras in 1990.
Dans les arrêtés pris vendredi, le préfet de police Laurent Nuñez avait justified the interdiction notably par le fact that les rassembles sinscrivent dans un “contexte particulier tendu” après “la polemique suscitée par la demonstration organized par le Comité du 9-May ” Samedi dernier à Paris.
These militants, habillés de black et souvent masqués, ont exhibé des drapeaux noir marqués de la croix celtique. Ils manifestaient pour commémorer le 29e anniversaire de la mort d’un militant d’extême droite, Sébastien Deyzieu, who died in an accident in 1994.
The préfet de police pointait aussi le “risque de troubles à l’ordre public”, alors que severales de ces manifestations ont suscité des appels à des contre-rassemblements par des organizations “proches de la gauche radicale” et qu’une mobilization de la “mouvance antifasciste” qui pourrait “tenter de s’en prendre physiquement” aux militants d’ultradroite est possible.
Le préfet fait également mention, dans certains arrêtés, des “risques de heurts” entre les militants d’extrême droite eux mêmes, rappelant que certains s’était déjà battus lors de la previous edition de cet hommage à Jeanne d’Arc.
Mais la decision de Gérald Darmanin avait entraîn, elle aussi, une polemique, beaucoup la jugeant juridiquement fragile.
With AFP