Comment vous sentez-vous quelques semaines après cette épreuve hyperexigeante?
« Aujourd’hui, très bien. Je me suis senti bien fatigué la deuxième semaine après l’arrivée, mais globalement, j’ai bien encaissé ces 7 jours d’effort pendant leschens j’ai dormi pendant une vingtaine d’heures, ce qui est relatively beaucoup par rapport aux autres at the same time. »
Quelle est la différence entre le Tor des Géants que vous avez fait en 2021 et ce Tor des Glaciers?
“The Tor des Glaciers is 100 km further than the Tor des Géants, the positive gradient is 32,000 m instead of 24,000 m. Les barrières horaires sont assez serrées mais il n’y a, surtout, pas du tout de balisage. Il a fallu que je réalise, en 2021, le Tor des Géants en moins de 130 heures pour pouvoir m’inscrire sur le Tor des Glaciers. »
Qu’est ce qui vous a poussé à réaliser cette course?
“Toujours un peu plus long, toujours un peu plus dur, c’est toujours un challenge personal.” Jean-Noël Cretin, mon partner de la Petite Trotte de Léon, avait déjà réalisé cette course, ça m’avait fait envie. S’exprimer devant les amis et la famille qui nous sivaur sur la course, ça fait aussi partie des motivations. »
“Quand on entreprend ce type d’effort, on a toujours envie d’aller plus loin”
What are your best and worst memories of this experience?
“Passer la ligne d’arrivée, c’est vraiment l’objectif, et c’est un moment magique, surtout avec les copains qui sont pésents. Le pire, c’est peut-être quand il a fallu repartir de nuit sous la pluie, ce que j’ai fait avec mon collegé de course, après beaucoup d’hésitation. Ça a été compliqué aussi le dernier jour quand les organisteurs ont failli nous priver des derniers kilometers en raison des intempéries. »
Après cette course, est-il encore possible de dire “Je voudrais faire plus”?
“À ma connaissance, il existe une course dans les Pyrénées, qui se fait sur 15 jours avec une journée de repos obligatoire. Quand on entreprend ce type d’effort, on a toujours envie d’aller plus loin. Je me sens plus à l’aise sur ces formats de course très longs, qui sont fatigants, mais pour mois moins traumatisants et moins durs pour le corps Que les trails de 150 km où il faut beaucoup plus courir. »