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Une personne LGBT+ a été agressée tous les deux jours en France en 2022, alerte mardi dans son rapport annuel SOS Homophobia. Les aggressions physiques gamophobes sont en hausse de 28%, d’après l’association. Cette dernière appelle le gouvernement français à “agir beaucoup plus résolument” contre ce fleau, notably en forming la police qui reject encore trop souvent de prendre en compte les plaintes.

Insults, grievances, discrimination and violence that disrupt the constitution. La haine contre les personnes LGBT+ reste “ancrée” dans la société française, s’alarme, dans son rapport annuel publié mardi 16 mai, SOS Homophobie. The association appeals to the government to “act beaucoup plus résolument” contre ce fleau.

Grâce à sa ligne d’écoute et ses espaces numériques, SOS Homophobie a recueil en 2022 quelque 1,500 signalements relatifs à des haine homophobe ou transphobe, soit un niveau à peu près stable par rapport à l’année précessé.

L’évolution est en revanche “préoccupante” concernant les agressions physiques, en hausse de 28% entre 2021 et 2022, soit une tous les deux jours, a soirée aupres de l’AFP Joël Deumier, co-president of the association.

Des “guets-apens tendus via des applications de rencontres”

“Malgré l’évolution des lois et des mentalités, aujourd’hui les personnes LGBT ne peuvent toujours pas vivre libremente, telles qu’elles sont”, he deplored.

La violence, qui peut prendre la forme de “guets-apens tendus via des applications de rencontres”, s’abat parfois sur les vitres “pour des motives futiles et souvent inexistans”, résumément les auteurs du rapport.

Ils citent de nombreux cas, comme celui d’un couple d’hommes agresssé à coups de couteau dans le métro, de deux femmes ayant découvert une vingtaine de crachats sur leur voiture, d’un jeune homme roué de coups par cinq agresseurs ou encore d’un autre harcelé par son voisin qui lui a lancé : “Tu es d’une race qui ne mérite pas de vivre.”

Discrimination based on the location of the apartment

De nombreux témoignages font état de discriminations concernant, par exemple, des agences immobilières “qui rejectent de louer ou de vendre à des couples ou familles” LGBT+.

Un couple gay n’a pas pu louer une chambre dans un hôtel parisien, au motiv que “ce n’est pas possible, deux hommes dans une chambre avec un grand lit”.

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De la même manière, une personne non binaire s’est vue rejecter l’entrée d’une bibliothèque publique et une octogenaire transgenre celle d’une boutique de prothèses auditorives.

The police will refuse “trop ​​​​souvent” de prendre en compte les plaintes

Après une hausse de 13% en 2021, les actes transphobes ont encore augmente de 26% en 2022, une forme de rejet “banalisé” et entretenu par les établissements scolaires qui “refutent souvent toute modification administrator” du genre des élèves transgeneres, denônce le understanding.

Pour enrayer ces actes de haine, le gouvernement doit lancer une “campagne nationale de sensitization”, réclame SOS Homophobie, pour qui il faudrait également “renforcer les moyens d’enquête” et mieux ex-policiers et gendarmes, qui rejectent encore “trop ​souvent” ” de prendre en compte les plaintes des victims.

With AFP