OLD SCHOOL MAGIC
Longtemps dernier bastion hollywoodien à défendre des projets singulariers et pensés avant tout comme des œuvres de cinéma, Warner a acquis au gré des huit adaptations des novels de JK Rowling un savoir-faire en matière de transposition magique indiscutable. Il joue à plein dans Les Animaux Fantastiquesdont l’intrigue, situate à New York en 1926, permet à cet univers de se renouveler et de muter sensiblementvers une esthétique plus adulte, aux influences toujours plus nombreuses.
The result is a produit à la direction artistique souvent prodigieuse dans son souci du détail, où se succèdent les décors formidable, les références cinematographiques et littéraires, accompanied by a rather cheerful bestiaire, aux airs de Monster Hunter pudding rehouse.. Un terrain de jeu ideal pour un casting tout simplement parfait. Eddie Redmayne developed a short-lived charm with the allure, and Katherine Waterston created a small part. The number of Ezra Miller and Colin Farrell is supposed to be a parfait la part d’ombre du récitce qu’elle contient de manipulation, de discours trouble sur l’acceptance de soi.
Oh quelle belle chose
CHEAP TRICK
Hélas, yes Les Animaux Fantastiques recèle quelques joliesses dans sa conception, il ne trahit jamais sa nature de blockbuster prémâché de 2016. Réalisé par David Yates, le film ne propose pas la moindre idée de mise en scène autre que des emballements numériques ponctuels lorsque le scenario s’attarde sur la collection animalière de son héros.
Plus gênant, le scénario nous propulsant aux États Unis, Warner se barrasse avec joie des oripeaux britanniques du produit pour y accoler les marques de l’entertainment hollywoodien contemporain. Ainsi, quand la magie fait défaut, on dégaine les flingues, on fusille, on pulverize des buildingsle tout dans une avalanche de gros effets dramatiques souvent hors-sujet, notably au cours d’un climax qui lorgne d’un œil torve vers la recette Marvel.
The rat version of JK Rowling
La narration n’échappe pas à ce cahier des charges désincarné, alternant séquence d’exposition, clin d’œil aux fans, intrigue secondaire, et extension de l’univers principal sans jamais tenter de les lier organiquement. Le résultat est une pièce montée souvent incohérente, où s’imbriquent mécaniquement la traque d’un libidineux rhinocéros, une pseudo-dénonciation des tensions politiques américaines et les premières miettes d’une amourette nigaude.
Attention, Les Animaux fantastiques : Les Crimes de Grindelwald
FORMULA TRAGIQUE
Thanks to the energy of his actors and a series of small finds here and there, Les Animaux Fantastiques ne sombre jamais et au moins la politesse de ne pas nous ennuyer. But on se prend souvent à rêve de ce qu’aurait pu proposer avec sembleble material un Tim Burton de la grande époque ou un Guillermo Del Toro, tant le film peine à incarner ses meilleures idées.
Tête de porte-bonheur
En témoigne les scènes se déroulant dans le petit zoo de Scalamander, caché dans une valise enchantée. Ces séquences, entre le théâtre, la relecture de Mary Poppins et la pure féérie appelaient une certaine inventivité et des choix de mise en scène. David Yates n’en fait qu’une bouillie numérique génériqueà l’image du personnage virtuall doublé par Ron Perlman, qui à force de débauche d’effets numériques finit par amoindrir une excellente proposition de départ.