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The organizers of the 2024 Olympic Games in Paris are facing a new wave of criticism from the 2024 Olympic Games, including the athletes, who are breaking their promise of “popular” games.
A new volley of criticism has hit the price of places in the Jeux Olympiques. Comme lors de la première phase de vente de billets, the organizers of the JO-2024 de Paris, malgré un engouement evident, affrontent depuis près de ten days une nouvelle salvo de critiques sur les prix des places, y compris cette fois de la part d ‘athletes, qui metten à mal leur promesse de Jeux “populaires”.
Pour cette deuxième phase de vente qui a débuté le 11 mai, les organisateurs avaient décidé de vendre près de 1.5 million de billets, à l’unité, après avoir écoulé plus de 3 million lors de la première phase par packs.
Dès le premier jour, près des deux tiers des sesames sont partis selon les organisateurs. Pour donner un exemple de la voracité des acheteurs, les places pour la finale hommes de la catégorie des lourds en judo, celle de Teddy Riner, “sont parties en deux heures”, Paris-2024 assures. “Franchement c’est parti très fort, presque trop. C’est la preuve d’un enorme engouement,” analyze le comité d’organisation.
“On savait qu’il y aurait des déçus”
But comme lors de la première phase de vente cet winter, les protests contre des prices jugés bien trop eléheit par certains, sur les réseaus sociaux notably, a encore brouillé la promesse de JO “populaires” malgré cette fois le message de Tony Estanguet, le patron de Paris-2024, répétant que tout le monde ne pourra être servi.
“On s’attendait à la critique, on nous avait prévenu que les périodes de vente étaiten un moment difficile. Mais on avait sousestimé l’ampleur”, avoue un cadre de Paris-2024, “avec quatre millions d’inscrits au tirage au sort pour 1.5 million de billets en vente, on savait qu’il y aurait des déçus”.
Sur le million de places à 24 euros pour ces JO, le tarif le plus bas, près de 150 000 ont été mis en vente pour cette deuxième phase. But mechanically, given that these premier bills were the premiers to part, the potential buyers were quickly found again in the face of higher prices.
Three days after the launch of this second phase of sale, sports fans are offered tickets for 690 euros or even 980 euros for the semi-finals of athletics, tickets for 2 700 euros for a solemn ceremony… Des prix jugés exorbitants par certains. “Les prix des billets des JO…Quelle vaste blague”, a tweet by the example of @BenjiTjumper, ou encore @KimKy_Love :”Pardon Paris-2024 mais la cérémonie d’ouverture à 2 fois le smic (!!), c’est une blague?”
#JO2024
Jeux Olympiques accessible pour tous vous aviez dit… 🤔
Enfaite il faut faire des crédits à la banque pour que les familles et proches puissent avoir la chance de venir nous voir…
Enfin du moins si d’ici là il reste des billets… #Honte #Degoutée– Amandine Bouchard OLY (@BubucheOfficiel) May 16, 2023
La colère des thètes
The caisse de résonance des critiques aussi été amplifiée par les athlètes eux mêmes, certes peu nombreux, mais qui ont alourdi le scepticisme sur la politique tarifaire.
Judaist Amandine Bouchard, bronze award in 52 kg lors des derniers Championnats du monde, n’a pas épargné les organisateurs sur Twitter : “Jeux Olympiques accessible pour tous vous aviez dit… En fait, il faut faire des crédits à la banque pour que les familles et proches puissent avoir la chance de venir nous voir… Enfin du moins si d’ici là il the rest of the blanks.”
“Comment peut-on mettre des taris aussi elédit pour notre sport?”, s’est lui insurgé sur Instagram Jimmy Gresier, French 2023 cross-country champion. Some voices are raised aussi à l’étranger, comme la Belge Nafissatou Thiam, double Olympic heptathlon champion : “je ne suis même pas sure que ma famille pourra venir me voir tellement c’est cher”, at-elle declared au média belge la DH.
Un procès “unjuste”
Un procès “unjuste” pour les organisteurs, qui ont également dû faire à un bug technique, un erreur de programming d’épreuves sur huit sessions d’athlétisme pour laquelle Tony Estanguet s’est engagé à trouver une solution.
The Minister of Sports Amélie Oudéa-Castéra a elle aussi tenu à défendre la politique tarifaire des JO de paris affirmant à l’Assemblée nationale le 16 mai that les prix de Paris-2024 étaiten “inférieurs” aux éditions précedés.
“Les billets accessibles, à 24 euros, existent mais ils partent trop vite. C’est une perception des gens que les JO ne sont pas populaires”, se défend Paris-2024.
“Il ne peut pas y avoir des JO populaires, cela n’existe pas”, estime lui auprès de l’AFP David Roisen, an expert on political sports, “la finale de Ligue des champions, les JO, ce sont des évènements réservés à une élite financier. C’est une erreur d’avoir évoqué des Jeux populaires”.
With AFP