Le Medef s’est dit lundi à l’issue d’une rencontre avec Elisabeth Borne prêt à négocier sur l’emploi des seniors mais pas sur une evventuelle révision des ordonnances travail ou sur les retraits.

Après les syndicats la semaine dernière, qui ont redit leur opposition à la réforme des retraits, le patron des patrons Geoffroy Roux de Bézieux a lui réiteré son soutien à la réforme et s’est dit “prêt à discusser de l’emploi des seniors” et des dispositions censurées par le Conseil constitutionnel.

Il a également évoqué the possibility of discussing “la retraite progressive”, des salaires elédit des cadres seniors “qui freinent leur embauche” ou de la degressivité des allocations chômage.

On salaries, Geoffroy Roux de Bézieux said that “private companies have done the job” with an increase of 5.8% according to the Urssaf. “autour de 2%”.

Mais il s’est dit prêt à parler du problème de la faible progression des salaires nets entre un et deux Smic, alors que selon certaines études, “between 60% et 70% des augmentations de salaire ne se retrouvent pas en net”, en raison notably de la disparition de la prime d’activité.

“Red Lines”

En revanche, il a dit qu’il ne “savait pas ce que voulait dire” conditionner les aides publiques aux entreprises à la hausse des salaires, comme réclamé par les syndicats. Et il a affirmed qu’il n’était ” pas prêt à négocier ” une révision des ordonnances travail, qui sont pour lui des ” lignes rouges “.

Le président du Medef a en outre demandé à la Première ministre que l’accord conclu entre le patronat et quatre syndicat sur le partage de la valeur, qui va être transposé dans un projet de loi presented Wednesday en Conseil des ministres, fasse “jurisprudence” et que “s ‘il ya un accord sur l’emploi des seniors, il soit repris entième.

Geoffroy Roux de Bézieux a dit qu’il « se méfiait un peu de l’expression d’agenda social. Il faut prendre les sujets qui sont mûrs » pour être négociés, « on n’est pas obligés de les ouvrir tous en même temps ».

The Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) on its side will put back on the table the proposal to exempt seniors from unemployment insurance contributions.

“La contrepartie, c’est que si l’entreprise doit se séparé du senior avant lâge de mise à la retraite, à ce moment-là l’entreprise doit rembourser l’ensemble des exonérations qui ont été attributés”, explains Jean -Eudes du Mesnil, numéro de la CPME.

Les deux premières organization patronales intendent, par ailleurs, limiter la possibilité d’ouvrir un compte épargne-temps dans toutes les entreprises à la prize des jours épargnés juste avant la retraite, et non tout au long de la vie professionnelle.

“Grain in Mudra”

Le Medef a défendu aussi la dégressivité des allocations chômage, alors que selon le numéro un de la CFE/CGC François Homeril, Elisabeth Borne envisagerait de ” laisser les partenaires sociaux revenir” sur cette mesure entrée en vigueur en février.

“On ne voit pas de raison (de) changer” la réforme de l’assurance chômage et “la Première ministre nous l’a confirmé”, said Geoffroy Roux de Bézieux on Monday.

D’une manière générale, Geoffroy Roux de Bézieux, qui s’apprête à passer la main à la tête du Medefest venu “avec une list de sujets” dont il souhaite discusser.

Il exclut toutefois de discusser avec les syndicats de sujets sur les les positions sont trop antagonistes, comme l’indexation des salaires.

“Le dialogue social ça marche quand il ya du grain à moudre et qu’il ya la volonté de part et d’autre de trouver un compromise”, affirms the president of Medef.

The CPME, which also wants to address the crisis of lodging and the use of the personal training account, assures that there is “absolutely not in a defensive state of mind” after the pension reform.

L’Union des entreprises de proximité (U2P), which represents artisans and liberal professions, will be received on Tuesday by Elisabeth Borne.