Politics.  Face aux députés, Giorgia Meloni consolidates the place of Italy in Europe et nie sa proximité avec le fascisme

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The new Prime Minister Giorgia Meloni firmly anchored Italy in the heart of the EU and NATO on Tuesday, one month after the day after the concern raised by the historic victory of her post-fascist party Fratelli d’Italia aux legislative bodies. L’Italie fait “pleinement partie de l’Europe et du monde occidental”, at elle affirmed mardi avec force lors son discours de politique générale devant les députés.

“Je n’ai jamais eu de sympathie ou de proximité vis-à-vis des régimes antidémocratiques.” Pour aucun régime, fascisme compris”, at-elle également affirmed lors de son discours de politique générale devant la Chambre des députés.

Mme Meloni, who counts in the coalition of pro-Russian partners, notably the head of Ligue Matteo Salvini and the leader of Forza Italia Silvio Berlusconi, promised that Italy will remain “un partner fiable de l’Otan en soutien à l’Ukraine qui s’oppose à l’aggression de la Russie”. “Ceder au blackmail of Putin on l’énergie ne résoudrait pas le problème, cela l’aggraverait opening the way to new pretensions and blackmails and de futures augmentation (du prix) de l’énergie encore more importantes que celles que nous avons connues ces derniers mois “, at-elle estimate.

Un vote de confiance qu’elle est assurede de remporter

En ce qui concerne l’Union européenne, elle esplicé que l’approche italienne n’était pas de “freiner et saboter l’intégration européenne” mais de faire mieux funcionaire la machine communautaire. “L’Italie va respecter les règles” européennes, a également assured Mme Meloni, même si Rome veut aussi “contributer à changer celles qui ne fonctionnent pas”. The EU is “une maison commune pour affronter les défis que les Etats membres peuvent difficulement affronter seuls”, at-elle added, jugeant que l’UE n’a pas fait assez dans ce domaine dans le passé.

Le discours de Mme Meloni, première femme chef de gouvernement de l’Histoire italienne qui a pris ses fonctions dimanche, sera suivi d’un vote de confiance, mardi soir à la Chambre des députés et mercredi au Sénat. Mario Draghi’s successor, to whom she paid homage in her discourse, is assured of winning confidence because her coalition has an absolute majority in both chambers.

Alors que l’inflation fait rage, elle s’est engagée en “priorité” à “reinforcer les mesures de soutien aux ménages et entreprises, aussi bien pour les factures énergétiques que pour le carburant”. “Un attraction financier qui drainera grande partie des ressources disponibles”, at-elle reconnu. Inflation increased by 8.9% in September and Italy was particularly affected by the energy crisis due to its dependence on Russian gas imports.

Paradoxically, while his party campaigned in frontal opposition to Mario Draghi’s government, his program is in line with the continuity of that of the former head of the European Central Bank (BCE), at least in the economic domain. She has effectively entrusted the crucial portfolio of the Economy to an ex-minister of M. Draghi, Giancarlo Giorgetti, representative of the moderate wing of the League.

Elle souhaite “arrêter les départs illégaux” d’Afrique

This approach aims to reassure the markets as well as Brussels and the European partners of the third economy of the euro zone, whose growth depends on nearly 200 billion euros in subsidies and loans granted by the European Union in the framework de son fonds de relance post-pandémie. These funds depend on a series of reforms, allant de la justice à la digitization de l’administration publique, qui doivent être mises en œuvre d’ici à 2026.

This manne is indispensable for a country whose debt reaches 150% of GDP, the highest ratio in the euro zone after Greece, and which should enter recession in 2023, according to the forecasts of the International Monetary Fund. Les nombreux défis qui attendent son gouvernement sont sont majoritairement économiques, à commencer par l’inflation et la dette publique.

The new head of the Italian government toutefois assured vouloir “arrêter les départs illegaux” d’Afrique vers la péninsule lors de son mandate. “This government wants to stop illegal departures and break human trafficking” in the Mediterranean, he said in his speech.