Saint Etienne.  L’institution Le Grillon, rue Gambetta, a trouvé un repreneur

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L’activité de restauration de Laurent Philippon au Grillon a été mise en liquidation début septembre. Ce lundi après-midi, quelques personnes sont venues assister à la vente aux enchères de cette institution stéphanoise, située 48 rue Gambetta, à deux pas de la place Anatole-France.

Ce sont surtout des habitués du lieu qui étaiten présents et qui souhaitaient savoir si l’établissement allait être repris et s’il rouvrairait ses portes prochainement.

“Le local necessaire d’important travaux, indiquait Maître Imbert, commissaire-priseur, avant le début des enchères.” The kitchen is fully renovated, the material is obsolete and in very bad condition. La partie bar est également à re-suivre, une partie du plancher s’effondre. J’ai effectue cinq visites, j’espère que ça va trouver preneur. The positive point is the proximity of the Halles Mazerat, which should create a flow of clients. The negative point is the absence of a terrace »

“Je vais conserver le nom et le style parisien bistro des années 1930-1940”

The mise à prix was 30,000 euros. Aucun acquéreur ne se manifestant, le prix était revised à la baisse. Le Grillon was finally bought for 16,000 euros by Raphaël Randozzo. “Je suis ravi de mon achat, explicait ce dernier, tout sourire.” Je souhaite ouvrir un nouveau bar avec restauration le midi. Je vais recruter mon neveu et ma nièce, qui travailten déjà dans la restauration. »

Rafael Randazzo  va progressively réaménager les locaux en vue de l’ouverture du bar d’ici one month. La restauration, elle, ne viendra qu’un peu plus tard. Currently chef de chantier, le nouveau propriétaire du Grillon n’est pas néophyte dans le milieu puisque’il already managed a bar, le Hot Spot Coffee, place Chavanelle, qu’il a vendu au printemps dernier.

“Here, le quartier me plaît.” Je pense qu’il ya du potentiel avec la ligne de tram à proximité et la clientèle de quartier qui attend avec impatience la réouverture. Je vais conserver le nom et le style parisien bistro des années 1930-1940, que j’aime bien, tout en rafraîchessant et en modernisant la salle. »

Très confiant, il a déjà trouvé son personal et compte bien démarrer l’activité au plus vite.

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