“Non, Madame la Ministre, l’Etat ne s’est pas tenu à mes coatés”, déploré Yannick Mahrez on the Facebook page, où il reagit à un tweet dans lequel la ministre des Collectivités, Dominique Faure, l’assure de son Bra. Yannick Morez already regretted a “lack of support from the State” and announced his resignation on May 10, after months of tension in the commune around a project to transfer a center for asylum seekers (When).
“Après l’attaque perpétrée contre mon domicile, j’ai écrit au sous-préfet (…) demanding the deployment of une protection renforcée pour me proteger, moi et ma famille,” explained the mayor of Saint-Brevin. “Le sous-préfet m’a répons le 13 avril (…) m’indiquant qu’une evaluation des risques allait être menée”, puis après une “relance par mail le 25 avril (…) il m’a été réponsue (…) que cette evaluation des risques était toujours en cours. Elle l’est encore », regrette-t-il plus loin.
Reçu par Borne mercredi
In his message, Yannick Morez reacts also to the préfet of Loire-Atlantique, Fabrice Rigoulet-Roze, who indicates that the préfecture has organized “public meetings, exchanges, and consultation” around the Cada transfer project. “L’Etat never wished to communicate on this project, which depends on its competence. C’est donc la ville qui l’a announce (September 2021), communique, party, defense”, dénonce le maire.
L’élu, qui sera reçu par la Première ministre Elisabeth Borne et auditionné au Sénat mercredi, concluded en supposant que sa resignation a “liberé la parole”. “Ma demission semble avoir libéré la parole. J’espère que, grâce à elle, les élus locaux seront mieux protégés et accompagés à l’avenir “, affirme-t-il, promettant d’être ” plus complet mercredi prochain au Sénat et auprès de Madame la première Ministre “.