Plusieurs syndicats de policeis ont été reçus vendredi à l’Elysée où ils ont pleadé pour une “loi anti-casseurs” après les violences lors des récentes manifestations du 1er-Mai ou contre la réforme des retraits.

Les syndicats, regroupés au sein d’un bloc led by Alliance, se sont entretenues avec le cabinet d’Emmanuel Macron, Patrick Strzoda, le conseiler sécurité du president, Frédéric Rose, et le conseiler sécurité du president, et le conseiler justice , Xavier Ronsin.

“On demandé que le president muscle son jeu sécurité et qu’il exprime un soutien unconditionalnel envers les forces de l’ordre, comme le fait le minister de l’Intérieur, à travers la proposition de loi que nous revendiquons depuis des lustres” , a dit Fabien Vanhemelryck, le patron d’Alliance, en citant notably la ” loi anti-casseurs “. Il leur a été réponsé qu’il y aurait “des propositions concrètes sous un mois”, a assured Fabien Vanhemelryck.

“Il a été rappelé aux syndicats le travail mené par le minister de l’Intérieur et le minister de la Justice pour mieux protecter les citoyens et mieux prevent et sanctionner les violences commises lors des demonstrations,” a de son côté indique l’Elysée.

Darmanin appelle aussi à une loi anti-casseurs

The bloc syndical avait sent last week a letter to the head of the State, denouncing the “unheard of violence” to which the forces of the order were confronted during the last demonstrations.

On Friday, they reiterated their requirements: “Une réponse pénale avec peine minimale pour les agresseurs des forces de l’ordre”, la “sanctuary juridique de l’usage des drones à des fins preventives et judiciaires” et une “loi anti-casseurs” “.

Une idea également portée par le minister de l’Intérieur Gérald Darmanin qui appelé de ses œux une nouvelle loi anti-casseurs aprè les violences du 1er-May. L’Elysée has indicated avoir proposé aux autres syndicats qui le souheitent d’être reçus dans les prochaines jours.