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The New York Stock Exchange finished higher on Monday, transforming the trial after Friday’s rebound on a market well oriented by the results of rather satisfactory companies and the prospect of a possible deceleration of the American central bank (Fed) in the end d’année.
The Dow Jones gained 1.34% year-to-date, the Nasdaq gained 0.86% and the S&P 500 gained 1.19%.
“Les actions américaines ont avance, portées par l’idée que la Fed va appuyer sur le frein après la réunion de la semaine prochaine,” according to the assessment of Edward Moy, d’Oand.
Après des semaines de turbulences, les taux obligataires se sont stabilisés lundi. Le rendement des emprunts d’Etat américains à 10 ans ressortait à 4.24%, contre 4.21% vendredi.
Pour autant, le taux à 3 mois, indicatorur rapproché qui rend compte des anticipations de politique monétaire à short terme, a franchi 4% pour la première fois depuis 15 ans.
Il s’aligne ainsi quasiment sur le scénario d’une nouvelle hausse de 0.75 point de percentage du taux directeur de la Fed lors de la next meeting, qui le porterait à une fourchette de 3.75% à 4%.
The PMI index of industrial activity in the United States showed a net increase in October, at 49.9 points against 52.0 in September, at its lowest level in 28 months, or at the beginning of the coronavirus pandemic.
As for the PMI index for the services sector, it also registered a marked contraction.
Ces deux indicatorurs accréditent la thèse selon laquelle l’économie américaine retrograde, ce qui pourrait inciter la Fed à modifyer sa traectoire.
Pour Andy Kapyrin, de Regent Atlantic, le début de la saison des résultats se reveille “less mauvais que ne le prévoyait le marché”, ce qui “alimente la confiance” des investors.
Le marché a “l’espoir que cette semaine crucial pour la tech soit également bonne”, avec les publications de Microsoft et Alphabet mardi, Meta mercredi, puis Amazon et Apple jeudi.
Avant d’ouvrir le bal, Microsoft (+2.12%) and Alphabet (+1.47%) ont été recherchés lundi.
Malgré ces deux séances enlevées conécutives, Wall Street ne s’emballe pas. “Pour moi, il s’agit d’un élan à contre-courant,” said Nick Rees, investment department. A moyen terme, le marché “va de nouveau retomber à ses plus bas” de l’année et “l’économie va entrer en récession l’an prochain”, annonce-t-il.
A la cote, the health sector is illustrated with, in vedette, the health insurer UnitedHealth (+1.47%), the biotech Amgen (+3.72%) or the pharmaceutical group Merck (+1, 72%).
Twitter (+3.27% to 51.52 dollars) abordé en hausse une semaine décisive pour la platforme.
The Delaware judge in charge of the dispute with Elon Musk gave the entrepreneur jusqu’à vendredi soir to finalize the acquisition of the social network. “Nous continuons à penser que la transaction va se faire cette semaine”, avaient écrit vendredi les analysts de Wedbush Securities.
Signe que les investisseurs favors the hypothesis of a finalization of the buyout, the course of the blue bird group is now close to the price proposed by Elon Musk, which is 54.20 dollars per share.
En revanche, Tesla retreated (-1.49% to $211.25), a rare valeur de l’indice Nasdaq à finir dans le rouge.
Certain investors and analysts are concerned about the possible sale of new titles by Elon Musk, director general of the constructor of electric vehicles, as well as the possible interference of the Twitter dossier in the management of the group.
The Chinese companies listed on Wall Street experienced a very bad day after the renewal of the mandate of the Chinese president Xi Jinping on Sunday.
Alibaba rose 12.51% to $63.15, compared with JD.com (-13.02%) and Pinduoduo (-24.61%). Same trajectory for Yum China (-13.96%), which controls the KFC, Taco Bell and Pizza Hut brands in China.