Companies.  Pour la vogue, il n’y aurait pas de corso sans les bénévoles

Depuis plusieurs semaines et même plusieurs mois, les responsables du committee des fêtes, les présidents des quatre associations partenaires (Audacieuse, Fayol, Chazeau et CLCE), des élés sont à pied d’œuvre pour organizer le 50d corso, qu’ils veulent plus beau que jamais. À leurs côtes, une ribambelle de bénévoles sont là pour les aider. Ici, il faut installer des tables et des bancs ; là, tenir la buvette; somers vont accompany les troupes invitees. Their tasks, nombreuses et variées, ne potrouint pas être toutes listées.

Parmi eux, quelques-uns nous ont parlé de leur rôle.

Christian Geary, who started as a volunteer with the club of the cibistes, gave numerous handshakes to various appelous associations and in particular to the musée des Pompiers. « Je dois en être à mon 25d corso, explica-t-il. At the beginning, in 1997, I was part of the protection team of Miss and her Dauphines. »

Omar Meluki, FCO Manager License. Il est arrivé tout droit des services technical de la Ville où il avait en charge la salle du Firmament. Pendant des années, il a côtoyé le comité des fêtes. Ils venaient, raconte-t-il, pour le forum, l’élection de la Miss, etc. “Quand j’ai été à la retraite, je suis venu.”

“About the search for young people for our reinforcement”

As for Christian Exbrayat, he made his debut in the voluntary sector a few years ago, at AL Chapelon (Saint-Étienne), avant de militaire comme parent d’élève, et dans un club de foot. Il a rejoint l’équipe du comité des fêtes, ses vieux copains, il ya un an. Comme Amar, il est polyvalent et apporte un aide technology. « Ça me plaît beaucoup dit-il, il ya une ambiance de camaraderie. Et puis ça m’occupe. » Tous regrettent toutefois que le nombre de bénévoles soit en baisse. “On recherche des jeunes pour nous reinforcer” by Lance Omar. Christian Geary, s’il touche un peu à tout, accompagne maintenant, chaque année, une troupe lors du corso. » « C’est un plaisir, ça n’a jamais été une corvée, avoue-t-il. Le corso, c’est l’image de la ville, le clou de la fête, une tradition, la joie, un rayon de soleil sur Firminy. »Ce corso, dit Amar, « tout le monde l’attend, après ces threes d’interruption, c’était bien de voir la joie des enfants pour la retreat aux flambeaux. Voir les gens contents, ça justifie le bénévolat. » For Christian E., “le corso est une manifestation joyeuse avec des troupes nationales et internationales de qualité et qu’on essaye d’amelioreur chaque année”.

Vogue des Noix : premier bilan and avis portage

Troisième et dernière journée de fermeture de la vogue des noix, ce judi. L’occasion pour les forains de faire un nouveau petit contrôle des manèges et de regonfler les stocks de confiserie before le gros weekend qui s’annonce.

L’occasion aussi de faire, avec deux d’entre eux, un premier bilan de cette première semaine de festivités.

Jordan, 35, Vientes-de-Saône-et-Loire. He installed these autos tamponneus sur la place du Breuil. “Mon grand-père venait déjà à Firminy, à la vogue des Noix.” On connaît donc bien dans la famille. Jusqu’à présent, la météo a été avec nous et on a eu du monde, pourvu que ça dure. Que pense-t-il des horaires d’ouverture de la vogue qui font parfois grincer quelques dents chez les forains? ” Bon, c’est vrai que quand on est fermé, on ne gagne rien. Nous avons toutefois récupéré le vendredi (aujourd’hui), ce n’est déjà pas si mal ! »

Alain, lui, vient de la Haute-Loire toute proche. Il tient un stand de confectioneries sucreries près de l’église Saint-Firmin et ses propos sont beaucoup plus nuances: « Sur les horaires? Les soirs, il faudrait 1 heure de plus et 3 jours de fermeture, c’est trop! On occupe l’espace publique, ça sert à quoi quand on est fermé? La pénurie d’essence nous a sans doute aussi un peu desservis, il n’y avait pas les files d’attente habitualelles devant mon stand. »

Vogue des Noix, la suite de program : vendredi 21 octobre, de 14 heures à minuit ; samedi 22 octobre de 14 heures à minuit, dimanche 23 octobre de 14 heures à 21 heures.





Raymond Perez: “On moments of strength and stress”

Raymond Peres accompanied 8 deputies of national and international troupes

“Au début, je venais au corso en spectateur puis comme acteur, en famille.” Et comme ça me plaisait, maintenant je suis au comité des fêtes. I started le bénévolat à Firminy, aux parents d’élèves, on a défilé avec l’amicale de Chazeau. Après, je me suis investi aupres de l’amicale et d’autres associations, c’était la suite logicique. Pour le corso, j’accompagne pendant trois jours, les troupes aux lieux de rendez-vous, à leur hébergement, au restaurant, en veillant que tout se passe bien. J’essaye de faire bien pour la ville de Firminy. Ça m’apporte beaucoup, je rencontre de belles personnes, ce sont des moments forts et stressfuls. Le corso, c’est une belle fête qui fait connaître Firminy au-delà du département. Je suis content d’y participant. C’est une belle expérience, on apprend beaucoup de choses. Je garde quelques contacts avec les troupes puis après, ça s’estompe. Ils me téléphonent quand ils sont rentrés, je leur envoie les cutures de journaux. Aujourd’hui, le manque de temps et d’envie fait qu’il ya moins de bénévoles, surtout en ville. À la campagne, c’est différence, ils y croient toujours. Quelques jeunes, ça nous amènerait un sang neuf, ça insufflerait des idées nouvelles. Il faut aimer les gens pour être bénévole, aimer aller vers l’autre. Il faut donner pour recevoir. »

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