In Pakistan, ex-prime minister Imran Khan accepted a suspension in the elections

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La Commission électorale Pakistanise a banni temporairement, vendredi, l’ancien Prime minister Imran Khan de la vie politique, lui interdisant de se présenter à toute élection pendant cinq ans. L’ancien chef du gouvernement est actué de ne pas avoir declarée tous les cadeaux diplomaticiques received du temps où était au pouvoir.

Imran Khan’s political career is born. L’ex-Premier ministre Pakistanis a été interdit, vendredi 21 octobre, de se présenter à toute élection pending cinq ans par la Commission électorale, pour ne pas avoir declarée tous les cadeaux diplomaticiques recécus durant son mandate.

The Commission concluded that the former head of government was “involved in corruption practices”, one of Imran Khan’s lawyers, Gohar Khan, declared to AFP, announcing his intention to immediately seize the justice system to cancel it. cette decision.

If this cell is confirmed by the courts, Imran Khan, who was ousted in April by a motion of censure in the National Assembly, could not compete in the upcoming legislative elections in October 2023.

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Des dizaines de ses partisans s’en sont pris à des véhicules en quittant les locales de la Commission après la decision, et la police arrêté un garde du corps de Imran Khan pour avoir iré une balle vers le sol.

“Nous rejetons cette décision honteuse. Le PTI et la nation entière rejettent cette décision,” said Fawad Chaudhry, a former information minister and chief of Imran Khan’s party, le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI, Mouvement du Pakistan pour la justice). , incitant tous ses partisans à descendre sans attendre dans les rues pour manifester leur désapprobation.

Un appel tout de suite entendu: PTI militants have blocked routes in Lahore, and in Faisalabad, in the east of the country, they have set fire to tires to stop traffic.

The police of Islamabad has indicated on Twitter that it is on high alert in the capital.

Great soutien populaire

The Pakistani press enchaîne depuis severales mois les unes à sensation, reprochant à l’ancien cricket champion et son épouse d’avoir reçu l’équivalent de severales centanes de thousands de dollars de cadeaux, sous forme de montres de luxe, bijoux, bags à main de créateurs ou parfums, pendant leurs déplacements à l’étranger.

Imran Khan accused de ne pa avoir declarée l’ensemble des biens reçus sous son mandat et d’avoir gagné de l’argent en en revendant certains.

Au Pakistan, les responsible gouvernementaux doivent declarer tous les cadeaux reçus, mais sont autorisés à conserver les moins onéreux.

Ils peuvent aussi acquirer certains des présents les plus chers pour environ 50 % de leur valeur. This proportion n’était que de 20 % avant d’être augmentée par Imran Khan.

La complainte sur laquelle la Commission électorale s’est pronouncene vendredi avait été déposée quand Imran Khan était encore au pouvoir, par l’opposition d’alors.

À l’époque, Imran Khan avait explicable n’avoir pas declarée certains biens pour des raisons de sécurité nationale, mais dans une réponse écrite avait aussi admis avoir acheté pour près de 22 million de roupies (101,000 euros) de cadeaux et les avoir ensuite revendus pour plus du double de ce montant.

Despite his eviction, Imran Khan conserves a large support in the population. Depuis avril, il organized de vastes rassemblements dans tout le pays – attracting tens of thousands of supporters – pour faire pression sur la fragile coalition au pouvoir. Il avait aussi promis d’annoncer bientôt la date d’une nouvelle “longue marche” sur Islamabad.

L’ancien champion de cricket, qui ne cesse de ressasser sa thèse selon laquelle sa chute aurait été le fruit d’une “conspiracy” ourdie par les États Unis, critique sans répit le gouvernement de son successor, Shehbaz Sharif et exige des pending elections.

Risque d’accression de “tension politique”

Il a été confonn à plusieurs procédures judiciaires ces derniers mois, dont il s’était jusque-là sorti sans trop de dommages, l’actuel gouvernement cherchant à tout prix à l’écarter des prochaines élections.

Le pays a l’habitude de voir les dirigentes politiques utiliser la police et la justice pour museler l’opposition.

Imran Khan était arrivé au pouvoir en 2018, après la victoire aux legislative du PTI, sur une platforme populiste mêlant promeses de réformes sociales, conservatisme religieux et lutte contre la corruption.

But under his mandate, the economic situation has deteriorated and he has lost the support of the army that has contributed to the election.

The announcement of the Electoral Commission was welcomed with great satisfaction by the power in place.

“Celui qui répandait des mensonges sur la corruption supposée de ses adversaires politiques a été pris la main dans le sac,” Foreign Minister Bilawal Bhutto Zardari tweeted.

Pour l’analyste Hassan Askari Rizvi, cette décision aura surtout pour consequence d’accreirante la “tension politique” dans le pays.

With AFP

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