Mazda 2 Hybride (2022) : plus qu’une Yaris rebedgée ?

EN BREF

Quasi-clone de la Yaris Hybrid

1re citadine hybrid badgee Mazda

23,250 €

Plus puissant constructor japonais, voire mondial par ses colossals ressources financières, Toyota noue des accords avec ses competitors, quoque il fornitt des véhicules. Suzuki par exemple, qui lui doit la Swace (une Corolla), ou encore Mazda qui grâce à lui a pu ajouter à sa gamme une citadine hybride. Sa 2 Hybrid n’est en effet autre qu’une Yaris Hybrid rebagée, à quelques détails près, ce qui en fait la seule Mazda never made in France!

Technically, elle ne differe en rien de citadine à succès produite à Onnaing. Au program, platform TNGA, train avant McPherson, essieu arrière de torsion, suspension à ressorts helicoïdaux, du très classique en somme, que Mazda n’a pas jugé bon de retravailler. Under the hood, the 3-cylindres 1.5 l à cycle Atkinson et injectione indirecte (91 ch) ne change pas non plus, à l’instar de son alterno-démarreur et de la grosse machine électrique synchrone à magnet permanent, fournissant 80 see

Combined with a continuously variable transmission using epicycloïdaux trains, this engine develops a maximum cumulative total of 116 hp, for an average consumption of 3.8 l/100 km (87 g/km of CO2). Poids de 1,180 kg, vitesse maxi de 175 km/h, 0 à 100 km/h en 10.3 s, rien ne change face à la Toyota de ce côté-là non plus, comme on s’en serait douté.

Essai - Mazda 2 Hybride (2022) : plus qu'une Yaris rebedgée ?
Essai - Mazda 2 Hybride (2022) : plus qu'une Yaris rebedgée ?

Extérieurement hormis les logos Mazda, rien ne distingue la 2 de la Yaris, et il en va de même à l’intérieur. On retrouve l’univers rather avenant et bien pensé de la Toyota, à quelques menus détails d’équipement près. Finish très convenable, rangements nombreux, habitabilité très moyenne à l’arrière, coffre pas tellement spacieux, rien n’évolue. Du pur “badge engineering”, dont on ne pense pas que du bien.

Panoplie completely

Aux logos près, la présentation générale est celle de la Toyota Yaris.  On aurait aimé des lauvements specifiques.  On board, the equipment differs from that of the Yaris, and it looks globally un peu moins complet.
Aux logos près, la présentation générale est celle de la Toyota Yaris. On aurait aimé des lauvements specifiques. On board, the equipment differs from that of the Yaris, and it looks globally un peu moins complet.

Notre version haut de gamme Sélect profite d’une dotation très riche (affichage tête haute, une climatisation auto bizone, sellerie sport à lauvement mixte similicuir/tissu), très proche de celle de la Yaris en finition Iconic. L’instrumentation entième digitale se reveille toujours bien pensée, tout comme la position de conducte. La Mazda s’éveille et s’élance initially en mode électrique. En ville, son ensemble motorisation/boîte se reveille d’une Jolie douceur, qui serait plus appreciable encore avec un 3-cylindres un peu moins rugueux. L’auto n’en demeure pas moins vive et maniable, grâce aussi à la direction légère, mais, comme la Toyota, pâtit d’une visibilité imparfaite. The interior rearview mirror, too low, obstructs the front right vision, and the rear pillars are too thick, making it difficult for example to see a cyclist about to overtake on the right, between the car and the sidewalk (prohibited manoeuvre, let’s remind him) , alors que vous êtes signalé pour justement tourner à droite…

Mécanique très au point

On the road, the Mazda behaves exactly like the Yaris. Elle dispense de bonnes performances pour autant qu’on s’abstienne d’écraser brutalement l’accélérateur. Because, even if the sensation of patination induced by the variation box continues a widen été réduite, elle est toujours un peu présente, avec cette tendance à faire brailler le moteur dans ces conditions. Donc, on module les gaz, et on avance tout aussi vite tout en appréciant plus la progressivité de la boîte. À vitesse constante, l’insonarisation se reveille rather convincing, contributing to la sérénité de conducte. À un détail près: le moteur thermique se coupe régulémente quand on lève le pied, puis se réveille, ce plusieurs fois de suite. Ça economise du carburant, mais induce un manque d’homogénéité sonore assez azagant. Un défaut qui ne m’avait pas interpellé lors de mon essai de la Yaris en Belgique, mais les parcours n’était certes pas les mêmes.

Bonn dynamics

On the road, the Mazda 2 behaves exactly like the Yaris.
On the road, the Mazda 2 behaves exactly like the Yaris.

The chassis is always alert. L’amortissement seems initially dry, mais cette characteristic s’tompe avec l’élévation de la vitesse, et induit un très bon maintien de caisse. La Mazda vire donc à plat, ofre un great feedback, malgré une direction un poil légère à mon goût, et surtout tient extremely bien la route grâce à sa platform très rigide et ses trains roulants rigoureux. Un bel agrément dynamique donc.

On the highway, the 2 Hybrid conserves these qualities, but the filtration of de-routing noises is insufficient. Dans les montées, le 3-cylindres se rappelle à notre souvenir mitigé par sa sonorité, mais jamais on ne remettra en cause son punch ni les excellentes reprises qu’il authorise avec l’aide du bloc électrique. À signaler que les aides à la conducte (régulateur actif, centrage sur la file) fonctionnent sans anicroche.

En usage mixte ville/route, en includante de la 4-voies à 110 km/h, la consommation ressort à 3.8 l/100 km, ce qui est tout à fait en phase avec ce qu’annonce le constructeur. En revanche, sur un trajet strictly autoroutier, à 130 km/h, on tablera plutôt sur 6 l/100 km. Cela demeure raisonnable, mais dans ce cadre-ci, une petite diesel se révélera nettement plus frugale. Overall, Mazda has our Aura advertised at 4.8L/100km.

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