Sante.  Comment un enfant peut-il (déjà) être un tyran à l’école?

À l’école primaire, les jeunes enfants ne sont pas toujours sages. Certains sont très violent : ils casent tout, agressent leur instituteur, cherchent la bagarre avec leurs camarades… ce qui finit par être difficile à gérard pour l’école.

Regulièrement, des articles dans les journaux racontent les problèmes posés par ces enfants terribles, sans pour autant interroger l’origine de ces manifestations extrême… Or, plusieurs causes sont possibles.

Le besoin d’attention

Un enfant peut se mettre à frapper ou à tout casser autour de lui parce qu’il a besoin de se faire remarquer. Et cela fonctionne, puisqu’il devient ainsi le center de toutes les attentions!

Manque-t-il d’affection à la maison? Se sent-il rejected par l’enseignant ou par ses camarades? Un enfant qui souffre intérieurement peut exprimer sa douleur par la violence.

La reproduction

Un enfant peut reproduire ce qu’il voit ou subit. Est-il témoin de violences conjugales? Est-il lui-même maltraité, frappé, à la maison ou à l’école? Est-il exposé à des contenus violent à la télévision ou sur Internet?

L’enfant est “une éponge” qui absorbe ce qu’il voit. Faute d’avoir la maturité pour le comprendre, il le reproduit, pensant que c’est ainsi qu’on se comporte avec les autres.

Le défoulement

Violence peut être un moyen pour l’enfant d’evacuer le stress qu’il quotidiennement à la maison… mais aussi à l’école. Certains ont en effet du mal à suivre les règles que l’école leur imposes : écouter, obéir, lever le daigt avant de parler, se lever seulement si on en donne l’autorisation…

Autre chose

Violence can also reveal problems of verbal expression (dyslexia and others), problems of the autistic spectrum, ADHD (trouble du deficit de l’attention avec hyperactivité)… ou encore de lesions cérébrales consécutive à un traumatisme crânien…

Dans tous les cas, un enfant au behavior violent à l’école expresse avant tout un mal-être et il a besoin d’aide. Encore faut-il que ses paitres ne soient pas dans le déni de la situation, œuvrent à établiser un dialogue avec lui et s’impliquent à ses kaatés pour l’aider, voire pour l’accompanier chez un pedopsychiatre… car personne d ‘autre qu’eux n’est en mesure de le faire.

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