Comment êtes-vous become arbiter ?

“J’ai joué au foot, d’abord, à partir de 10 ans. Je dis qu’il faut être passionné de foot, à la base et après passer à l’arbitrage. I started wanting to learn the rules of my sport, because I was passionate and I wanted to go all the way. J’ai fait les deux un moment et après j’ai choisi. A l’époque, il ya presque ans, le foot féminin était beaucoup moins développé qu’à l’heure actuelle et l’opportunité a fait que je me suis dit “allez je me lance”. Au final, c’était la meilleure décision. »

Il ya un manque de recrutement dans l’arbitrage, à quoi cela est dû?

” Ce n’est pas dans le nouvellement en tout cas, parce qu’on a beaucoup de formations qui sont faites, beaucoup de jeunes qui arrivent à l’arbitrage. Le plus dur, c’est dans la fidélisation : ils font un an, deux ans et après ça s’arrête. Le Covid has accelerated the thing, parce que ça aussi permis à certains de se recentrer sur eux mêmes et de se poser la question d’arrêter ou pas, dans tous les corps de métiers. »

Ces journées de sensitization sont donc très importantes…

“Oui, c’est important de sensibiliser à la fonction surtout. Ce n’est facile de passer le cap. Nous, en tant qu’ambassadeurs, on a aussi ce role là pour montrer que c’est important. Que les joueurs montrent aussi l’importance du rôle de l’arbitre c’est bien, parce que sinon on se retrouve tout seul. »

“Clement (Turpin) is an ally for me”

Comment abordez-vous la Coupe du monde au Qatar, qui sera la première pour vous?

“C’est une fierté de représenter l’arbitrage français. On est six (two centers, two assistants and two VAR referees), it’s the first time for French arbitration to have so many representatives at the World Cup. C’est une belle expérience qui va être vécue et aux côtes de Clément, qui était déjà là en 2018, et qui est un allié de poids pour moi. »

Comment avez-vous appris cette nomination ?

“La Fifa a publié la liste sur leur site Internet, on le sait comme ça, un peu par hasard.” Je n’étais pas très au fait des annonces et des dates, ce n’est pas comme pour les joueurs où il ya une date précis et tout le monde visit à ce moment-là. I was surprised because I didn’t attend in terms of timing and, après, I was honored because I valued my skills and my skills in French arbitration. »

Quels sont vos souvenirs de la Coupe du monde?

“Je pense tout de suite à 1998. C’était en France, j’étais dans mon âge où le foot et l’arbitrage étaiten une grande passion. Ça me rappelle ces souvenirs devant la télé, avec ma famille, le sacre de l’équipe de France aussi. Ce sont des images de foot et de strast. »

Quel est votre avis sur la sonorisation des arbiters de foot?

« Nous, arbitrators, on toujours été favorables aux nouvelles technology. Maintenant, l’apport des nouvelles technology a été cadrée et accompanée. On sera surement ouverts à cette technologie mais il faut que ça soit cadré, pour que ça soit benefici pour nous, pour les joueurs et pour le football. On a toujours été dans cette ligée-là et toutes les technology ont été mises en place dans l’optique de favorer le jeu. »

Où en est la mixité dans l’arbitrage?

« Depuis 2019, le premier pas qui a été fait en Europe et en France a permis d’ouvrir des portes importantes. Le fait que ça soit moi ou d’autres femmes qui arbitrent dans des compétitions de haut niveau, ça a été médiatisé. Ce n’est plus une prize de voir une femme arbitre. »

“Les joueurs sont des compétiteurs”

Quelle relation avez-vous avec les joueurs et joueuses?

« Depuis 2019 and depuis 2014 in Ligue 2, j’ai toujours été bien accueilly par les clubs et les dirigenes. Il ya peut-être une exception parmi les je ne sais combien de matches que j’ai fait. C’est toujours de la bienveillance. Les joueurs, ce sont des compétiteurs. Si vous prenez les moins bonnes decisions, forcément ça va contester mais cela fait partie des émotions du foot. Pas cette contestation virulente mais cette émotion qu’il ne faut pas non plus totalement enlever. »

A la Coupe du monde, c’est quelque chose qui est démultiplié?

“On sait très bien que médiatiquement, c’est la première compétition au monde, donc tous les regards seront là.” Donc ce qu’on fait nous sera plus scruté parce que ça a encore plus d’impact. »

Est-ce que vous pensez aussi à Paris-2024?

“I’ve already done two times at the Olympic Games, in Rio and in Tokyo. Rio, ça reste unforgettable parce que c’était le premier, dans le pays du foot. A Tokyo, c’était un peu plus compliqué, par rapport au Covid et aux conditions d’exercise sur place, parce que vous savez qu’à huis clos, ce n’est pas la même ambiance. Pour nous, le foot c’est dans un stade plein, avec des émotions. On se dit que c’est à Paris, moi je suis Parisienne donc j’y participerai, que ce soit sur le terrain ou en dehors. Ca sera une belle fête en tout cas. »

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