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Alors que Liz Truss vient de émissionner du poste de Prime ministre, son decesseur Boris Johnson cherche vendredi à obtenir les parrainages necessaires pour temper de reprendre le poste. S’il n’est pas encore candidate, “BoJo” seems parmi les mieux placés dans l’élection interne au parti conservateur, qui doit accoucher d’un nouveau Premier ministre en une semaine maximum.
Certains l’adorent, d’autres sont prêts à demissionner s’il revient à Downing Street. Dans un nouveau coup de théâtre, Boris Johnson cherche, vendredi 21 octobre, à obtenir les parrainages necessaires pour tenter de becoming Prime minister britannique.
En vacances aux Caraïbes, il n’est pas encore candidate, pas plus que Rishi Sunak, l’ancien ministre des Finances avec lequel il est à couteaux tirés. Mais les deux hommes semblent les mieux places dans cette élection accéléréée, interne au parti conservateur, qui doit acoucher d’un nouveau Premier ministre en une semaine maximum, après la demission de Liz Truss, dirigeante éphémère pending 44 jours.
Alors que le country aspire à la stabilité après severalis mois d’un très mauvais feuilleton politique mettant en scène dissenses, trehisons et incompetence, Boris Johnson, 58 ans, l’ancien Héros charismatique du Brexit qui avait demissionné il ya trois mois et demi, désavoué après une série de scandales, prépararait son retour.
“Boris Johnson dit aux conservateurs : je peux sauver le parti de l’anéantissement politique,” is the headline on all conservatives in The Daily Telegraph. “Boris contre Rishi, le combat pour l’âme des Tories,” headline of the Daily Mail, in support of Johnson.
Un décompte officieux réalisées par le site Guido à la mi-journée comptait 58 députés from Risha Sunak, 54 from Boris Johnson and 20 from Penny Mordaunt, minister for parliamentary relations. Il faut 100 parrainages d’ici lundi 14 h pour pouvoir être candidate, sur 357 députés conservateurs.
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Weekends
Les tractations en coulisses vont bon train. Boris Johnson s’apprêterait à rerenter à Londres et le weekend promet d’être sanglant. Car Boris Johnson divide deeply.
Pour ses partisans, il est le seul à être legitime, ayant offert une majorité historique aux conservateurs lors des Législatives de 2019. Formidable orator, il aussi gardé son aura auprès de thousands de membres du parti, qui potrouint avoir à se pronouncer la semaine prochain.
“Boris ou la faillite” was announced by Secretary of State for Energy Jacob Rees-Mogg. Le ministre de la Défense Ben Wallace, très populaire au sein de la base, a aussi dit “pencher” vers Boris, dans ce drame aux accents de plus en plus shakespearians.
But many Conservative MPs remember the celebrations in Downing Street during the anti-Covid lockdowns, their repeated lies and lack of discipline that undermined confidence, leading to dozens of resignations in the government and in July 7.
“Il fait actuellement l’objet d’une enquête d’une Commission Parlementaire (…), il est presque 100% sure that the commission des privilèges conviendra qu’il a trompé le Parlement”, rappelé député conservateur Richard Graham on radio times. Ce retour renverrait son parti “directement dans le pétrin dans lequel nous étions lorsqu’il était au pouvoir”, a commenté un autre élu.
“Boris Johnson is the English Berlusconi”
“Gagner le soutien des députés est très loin d’être acquis, mais s’il y arrive, il sera presque très certainement Premier ministre,” writes The Times.
The base of the party has remained largely loyal to Boris Johnson. According to a YouGov poll, 42% of party members think they can be “un très bon” replacement for Liz Truss, and 21% un “assez bon” replacement. Rishi Sunak, qui avait perdu contre Liz Truss cet été, parfois consideré comme le traître ayant conduit au départ de Boris Johnson, est à 29% et 31%, Penny Mordaunt est à 20% et 34%.
Dans un contexte de crise économique et sociale, l’opposition travailliste, largement en tête dans les pollages, demande des élections Législatives anticipées. The centrist party of liberal-democrats (“Lib-Dems”) wants to block Boris Johnson’s candidacy, stressing that he was recognized guilty of breaking the law during “partygate”.
“Boris Johnson is England’s Berlusconi,” condemned Liberal chef Daisy Cooper.
“Hasta la vista” avait conclu Boris Johnson en juillet, lors de sa nière session de questions au Parlement. “Mission largely accomplie, pour le moment”, he added.
Il rêve probably de marcher dans les traces de son héros Winston Churchill, revenu au pouvoir en 1939. Mais Churchill avait attendu 10 ans, pas six semaines.
With AFP