L’ACTU DES COMMERCES

“On n’est pas à la même période de nos vies respectivees, et pourtant, on ressenti la même envie de créer notre propre emploi, sur une thématique qui ait du sens à nos yeux, qui colle à l’époque qu’on traverse ”, content by Audrey Carrere and Natalie Janvier.

Originaire du Lot-et-Garonne, la première a 31 ans et est installed à Saint-Étienne depuis quatre ans. La deuxième, Stéphanoise depuis de longues années, a 55 ans. Elles se sont rencontees sur leur lieu de travail, en l’occurrence le laboroire Ariland, dans les Monts du Forez, un fabricant de produits capillaires.

Nathalie Janvier left the company in 2020 to create her micro-enterprise for commercial development. Mais les deux anciennes collèges n’ont jamais rompu le contact et, de discussion en discussion, Elles Ont decided de se lancer dans une nouvelle aventure commune.

“Les hommes sont également les bienvenus”

Après qu’Audrey Carrer a elle aussi quitté son emploi fin septembre, les deux femmes ouvriront leur coffee-shop dans quelques semaines – “On espère vers mi-novembre” – au 40 rue de la Résistance (dans l’ancienne boutique Mon nouveau dressing ).

Le nom de ce coffee-shop pas comme les autres? Les Simon[e]with “C’est un hommage à deux femmes qui nas inspirent, Simone Veil et Simone de Bauvoir. Le E entre crochets, c’est pour montrer que les hommes sont également les bienvenus ici, qu’on n’est pas dans un cercle fermé”, expliquent les deux futures commerçantes dans un sourire.

Mess Le Simon[e]s sera donc un lieu avant tout destiné aux femmes. Un lieu hybride mêlant coffee-shop et boutique. On pourra y trouver de la petite restauration pour le déjeuner et tout au long de la journée, du lundi après midi au samedi.

Produits locaux et articles autour de la féminité

« On ne cuisinera pas sur place, on va travailler avec des artisans stéphanois. Côté salé, on va proposer les cakes, cakes, soups, salads… at the Kitchen Street restaurant. Côté sucré, on aura des cookies, muffins, sablés… de la boulangerie Le Pain du loup. » Au rayon boissons, on pourra siroter cafés, thés, infusions, chai latte… là aussi venus de producteurs locaux comme La Fabrikathé, dans le Roannais.

Dans la partie boutique, des livres et des articles “autour de la féminité”. Des bolas (colliers de grossesse), des produits pour l’hygiene intime, des cosmétiques spécial grossesse et post-partum, quelques articles pour bébé, ou bien encore des sex-toys. « Il n’y aura que des objets utiles. Donc on ne trouvera pas de vêtements ou de bijoux ici. »

“Un accès à l’info léger et sans judgment”

Le souhait d’Audrey Carrer et Nathalie Janvier, avec Les Simon [e] s, “c’est d’aborder l’ensemble des thématiques féminines, du rak du sein à l’entreprenariat.” D’apporter des réponse à toutes les questions que peuvent se poser les femmes au quotidien, mais aussi certains hommes, par exemple les Papas qui élèvent seuls une ado. On veut donner un access à l’info léger et sans jugement.

Les deux associéses investissent 80,000 euros in this project. Ainsi que toute leur énergie et leur enthusiasme. « Il ya beaucoup de nous dans ce lieu, c’est pour ça que c’est atypique. » Atypique aussi par la déco haute en couleurs, façon Movida, signée de la designeuse stéphanoise Noémie Bonnet-Saint-Georges.

“On a décidé de créer le lieu qu’on aurait aimé trouver”

Les Simon[e]s se déploiera sur deux niveaux d’environ 40 m2 hammer Au rez-de-chaussée, le coffee-shop et la boutique. À l’étage, un autre espace pour la restauration, mais qui porra être privatisé pour différents rendezvous: sale of second-hand clothing, baby shower…

In addition, Audrey Carrer and Nathalie Janvier are competent and regular organizers of workshops or discussions on various topics such as pregnancy, postpartum depression, couples, sexuality, nutrition…

Enfin, une petite pièce sera proposéd à la location pour des professionnels de la santé/bien-être (sophrologist, dietician, naturopath…) qui voudraient y recevoir des patienti.

Quand on leur demande pourquoi elles ont voulu créer Les Simon[e]s, les deux associéses répondent en chœur : « Pour nous d’abord ! C’est un concept qui n’existe pas et que, personallyment, on aurait aimé pouvoir trouver, donc on a décidé de le créer. Et apparently, il est attendu par beaucoup de femmes…”

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