vers une mise en place très progressive

This Tuesday morning, the Ministry of Energy Conversion held a large working meeting with the main elected representatives of the agglomerations concerned by the implementation of Zones à Fables Emissions mobilité (ZFE-m).

It has already been put in place in a dozen cities (including Paris, Lyon, Strasbourg, Toulouse, Nice, Marseille, Montpellier, Rouen…), which are expected to expand to 43 agglomerations of more than 150,000 inhabitants. here in 2025.

Or, si le consensus se fait sur la nécessité de réduire la pollution urbaine, qui selon Santé publique France provoque 40,000 décès liés aux particules fines (dont plus de de 7,000 d’entre eux resulterraient des particules de dioxide d’azote sortant du pot d’échappement des voitures), il se pose la question de l’acceptabilité sociale d’une Telle mesure.

En effet, les ZFE-m applique des restrictions de circulation aux véhicules dit polluants (vignettes Crit’Air 3, 4, 5 et non classées), which represent 38% of the parc de voitures particulières en France.

Dans ces conditions; les pouvoirs publics se trouven pris en étau entre d’un côté l’exigence écologique – dans une decision rendue last semaine dernière, le Conseil d’Etat a condamné l’Etat à payer quelques 20 million d’euros pour n’avoir not enough agi contre la pollution de l’air – et de l’autre l’impossibilité d’exclure des grandes villes ceux qui n’ont pas les moyens d’acquirer une voiture neuve.

Comment controller les accès?

Even if the authorities foresee a progressive entry into force of interdictions, with simply a minimal application schedule for the most polluted metropoles (interdiction of Crit’Air 5 from 2023, then Crit’Air 4 the following year, etc. .), à quoi s’ajoute un zonage précis dans les zones les plus polluées, la grogne risque de rapidement monter.

Pour de nombreux mayors concerned, these ZFE-m represent a real headache, to which is added the nature of controls. Les ZFE seront surveillées par des caméras qui à terme assureront la verbalisation des contrevenants, selon le principe bien connu du contrôle-sanction automatisé.

Mais il ya encore loin de la coupe aux lèvres : ” les ZFE ont été instaurées à la demande de l’État, qui a indicé qu’il assurerait lui-même les contrôles. Simply, l’État est incapable d’être au Rendez-vous des échéances qu’il a lui-même fixees ! Aujourd’hui, il ya une incertitude sur la date à laquelle ces contrôles entreront en vigueur. On parle de mi-2023. Mais il appartient à l’État de confirmer ou pas cette date “, exposait en septembre Jean-Luc Moudenc, mayor (LR) de Toulouse.

Les Zones à Faibles Emissions répondent davantage de l’ideologie que du pragmatisme. Il n’y a rien d’écologique dans le fait de contraindre un automobiliste à changer son véhicule alors qu’il est parfaitement entretenu! » Renchérit Pierre Chasseray, Délégué Général de l’association “40 million d’automobilistes”. ” N’oublions pas que les gilets jaunes sont nés d’une menace d’augmentation de la fiscalité des carburants de 3 petits centimes. Comment l’État peut-il penser qu’en interdisant 58% des véhicules de circuler (en comptant les utilitaires, NDLR), aucun mouvement social ne se déclenchera? Les Zones à Faibles Émissions, ce sera Gilets Jaunes puissance 10 ! »

Difficile de lui donner tort, si l’on consideratere les mesures de soutien announcees jusqu’ici : even s’ils sont bienvenus, ni le bonus écolo recently porté à 7,000 € ni les dispositifs d’accompagnement des ménages (prime à la conversion ) La mise en place des ZFE-m devra donc s’operér très progressivement, ce qui est une bonne nouvelle.

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