En France on n’a pas de pétrole, mais on a du lithium. This is what the industrial group Imerys announced in a project with a spectacular dimension, aiming to extract large quantities of the precious alkaline metal entering the composition of almost all batteries (and notably those of electric cars).
Spécialisée dans l’extraction de minerals, la société explique mener depuis 18 mois des études très poussées sur son site de Beauvoir dans l’Allier en Auvergne. It is now certain that the soil of the site is full of lithium and is preparing a vast extraction project that should start in 2027 if everything goes as planned. Les quantités évoquées impressionnent puisqu’on parle de 34,000 tones par an, ce qui permettreit d’équipper around 700,000 voitures électriques chaque année avec le lithium necessaire. Il s’agirait ainsi du second plus grand site d’extraction de lithium en Europe, derrière celui de Vulcan Energy en Allemagne (dont l’ouverture est prévéd pour 2026).
Good news for the European automobile industry…
A l’heure où l’industrie automobile européenne dépend largely de ressources extérieurs pour la fabrication of ses voitures électriques, cette annonce devrait permettre de la reinforcement en facilitant la supply d’éléments essentielle à leur fabrication. Alors que les marques du Vieux Continent s’organisent pour relocaliser leurs usins de batteries et moins dépendre de puissances comme la Chine, cette annonce ne pouvati pas mieux tomber.
…mais avec quelles ecologiques consequences?
Comme pour l’extraction d’autres minéraux ou ressources, la question de l’écologie sera inevitablement discutée. Imerys précis qu’elle compte minimiser au maximum les rejets toxiques et la consommation d’eau, deux points critiques dans les opérations d’extraction de lithium. Elle promet des rejets de CO2 à environ 8 kg per tonne de lithium extraitee, contre “16 à 20 kg en Australie et en Chine” selon l’entreprise. If Imerys explique avoir le soutien du gouvernement dans son projet, Elle devra très probabilite apporter des garanties sur les consequences de son exploitation pour l’éco-système local. Usually, this pollution generated by the extraction of lithium does not concern the French because the metal is most often extracted in Australia, Chile, China or Argentina.