La mauvaise voiture pour le mauvais marché au mauvais moment… C’est à peu près ainsi que l’on peut résumer l’histoire, très courte, de l’Edsel.
Au sortir de la deuxième guerre mondiale, les américains restent encore fidèles à la marque à l’ovale bleu; mais surtout pour le prix et pas vraiment pour la qualité.
Ford a été incapable de monter en gamme et proposer des vehicles pour les classes moyennes supérieures.
General Motors, de son côté, vend de la Chevrolet mais aussi des Cadillac. Also, Henry Ford II chooses a car capable of going against GM.
Les fées du marketing se penchent sur le projet
The project of this new range was launched in April 1955. It is about preparing nothing less than the car of the future, full of gadgets and innovations like the command of the gearbox (automatic) in the center of the steering wheel.
Il faut proposer un produit qui enthousiasme les classes moyennes en cassant les codes. Pour cela, des études de marché testent les attentes des consommateurs, à grands renforts de dollars. Plus de mille revendeurs sont nommés en dehors des concessionnaires traditionalels Ford et Mercury.
Et, pendent des mois, des groupes de travail vont imagine le nom de la future voiture. After 6,000 propositions, it will be Edsel, the name of Henry Ford’s son, who died of cancer in 1943.
La Communication en exergue
Jusque-là, rien n’a filtré sur l’ésthétique de la future voiture. Mais les responsables de la communication vont planier un launch qui defie l’imagination. Ford ne lésine pas, les investissements sont enormes : des millions de dollars dont 50 pour la publicity.
Dix-huit modelèles différences seront disponibles: deux-portes, quatre-portes, cabriolet avec hardtop ou capote, break, berlines, motorisés par des blocs V8 de 300 à 345 ch.
Un show télévisuel est prévue pour le launch de la voiture, le 13 october 1957. Release of one hour, christened “The Edsel Show”, est anime Frank Sinatra, Bing Crosby or Louis Armstrong encore. Price: $250,000.
Deception
La comm’ a bien fonctionné puisque près de trois millions de curieux vont chez un concessionnaire. Les américains découvrent alors l’Edsel, mais c’est une sorte de consternation.
C’est d’abord le physique qui ne passe pas; et puis, en dehors d’une face avant peu consensuelle, le reste de la carrosserie ressemble trop aux productions Ford.
And yet, the Edsel is original. Mais tous les modèles ont un common point: l’énorme calandre ovale, qui concentre les quolibets: collier de cheval, lunette de WC et d’autres plus connotés sexuelement.
Un maximum de gadgets sont sensés plaire à la clientele mais les carnets de commandes sont presque vides.
Une gamme plethorique
At the launch, eighty-eight models are present with four finishes and three layouts. La gamme comprend la Ranger entrée de gamme (serlines and hard-tops 2 or 4 doors), puis la Pacer, version plus luxueuse avec un cabriolet en plus (une version qui ne durera qu’un an).
Suivent la Corsair (plus grande et plus puissante), la Citation, la Roundup (break 2 portes d’entrée de gamme), la Villager (break 4 portes, 6 or 9 seats assizes) and la Bermuda, un break 4 portes “woody ” haut de gamme qui disparaît in 1959.
Tous sont, unfortunately, plus or minus inspired or based on existing Ford or Mercury models.
Des prix eléfêt et une conjoncture difficile
L’Edsel n’a pas de chance ; its price is relatively high (between 2,519 and 3,801 $) and its appetite; pour en rajouter, la qualité de fabrication est mediocre et de nombreux pépins techniques (fuites à répétition…) viennent entacher une image déjà désastreuse.
Pour parachever le tableau, les Etats-Unis entrent en récession en 1958 ; ce sont les voitures de milieu de gamme qui en font les frais.
Ford will present at a price of 100,000 and 200,000 units; en 1958, 63,000 ventes, puis 43,000 en 1959 malgré une forte simplification de la gamme et, enfin, 3,000 voitures en 1960.
Ford is $3,000 for a 1960 Ranger priced at $2,635. In November 1960, a simple encounter with Edsel’s adventure took place.